Le pouvoir des Etoiles

Psychologie Cosmique

26-05-90 - 4/4

Le pouvoir des Étoiles.

La grande énigme : Qu’est l’autre ?


(Fin du 3/4)

Ce qui fait qu’il y a des gens qui vont marcher sur toutes les peaux de banane, qu’ils croient en Dieu ou pas, cela est écrit dans le ciel.
Pour ceux qui sont dans cet état-là et qui pourraient me dire comment s’en sortir, je dis : ne t’inquiète pas, car quel que soit le signe et le dessein des étoiles, si avant tout tu dessines le soleil par ta Foi, tu vas redéterminer le plan des étoiles, mais il faudra mériter ce nouveau schéma, cette renaissance en quelque sorte. Car si tu as mérité qu’aujourd’hui la malchance soit à chaque coin de rue, c’est que tu as fait beaucoup d’erreurs, pas forcément de méchantes erreurs mais beaucoup d’erreurs.

 

(Suite)

Alors il faudra mériter que le dessein s’efface pour laisser la place à un autre. C’est ce qui se passe souvent dans la vie des gens. Quand l’homme arrive à développer une grande spiritualité, une grande pureté intérieure, sans avoir besoin de mourir, ils connaissent une nouvelle naissance. Le thème astrologique ancien ne compte plus du tout alors. Le problème c’est que ces gens-là ne savent pas à quel moment ils ont connu cette renaissance, ils ne peuvent donc plus parler de leurs étoiles.

Ton signe solaire représente les énergies de ton âme, toujours tout le temps. Donc le soleil du ciel se place à l’endroit où le soleil de ton âme lui ressemble, tout simplement. Et on ne sort pas du jeu des miroirs, mais tu peux redéterminer ses axes de puissance, je te l’ai dit, en plaçant ton âme ailleurs, autrement.

La vie des disciples c’est donc quoi en fait ?

Ce n’est pas de chercher Dieu, comme tant de gens le disent. Ce n’est pas de trouver le Maître, ce n’est pas de trouver sa formule de méditation et de la faire, ce n’est pas de devenir ascète, de devenir un initié. On se moque des initiés, il n’y a rien qui nous fasse plus rire que ce spectacle des initiés de la terre, avec leurs longues robes, leurs longs manteaux, leurs grands livres et leurs grandes discutions à propos du nombril de Dieu. Tous ces grands docteurs de la loi, sont des initiés pourtant, c’est certain, mais il n’y a rien de plus ridicule qu’un initié.

Moi je préfère un simple berger, un gardien de troupeau qui regarde qu’une seule chose, l’étoile polaire chaque fois qu’elle se rend visible, et qui fait toutes ses prières à cette étoile, qui ne connaît qu’une chose la course des ruisseaux et qui propose à ses amis une eau bien fraîche. Je préfère ce berger-là qui garde bien ses brebis, qui les caresse et qui ne les mène jamais à l’abattoir.

Alors que les autres, ceux qui sont dans les grandes écoles, ou même les grands temples, ceux-là non seulement font venir les brebis pour les tondre, mais aussi pour les sacrifier, car ils disent que cela plaît à Dieu. Bien sûr, si aujourd’hui on ne sacrifie plus les agneaux, il y a mille manières mentalement de les sacrifier.

Chaque fois que l’homme devient suffisamment évolué pour avoir un peu de connaissance il en profite pour tuer Dieu avec cette connaissance et non pas pour le découvrir. C’est pour cela que j’ai dit si souvent : il y a un temps pour lire le livre, mais un temps aussi pour le fermer et regarder Dieu en face.

Le livre ne vous amène pas à Dieu, au contraire, parfois il vous rend contraire à Dieu, même s’il ne parle que de Dieu. Mais ce n’est pas le livre qui fait cela, c’est votre fausse lecture et l’égo qui s’amplifie.

Vous pouvez éviter tous ces maux dès le début, en sachant qu’il faut faire un acte double. D’un côté je m’instruis et de l’autre j’intuitionne, je développe mes abstractions, mes pensées, mes conclusions, ma métaphysique. Je crée mon équilibre, je me stabilise et je médite.

Quelques mots sur la stabilisation.

Qu’est-ce que la véritable stabilité, le véritable équilibre ?

Je l’ai expliqué tout à l’heure comme étant la pensée juste, l’émotion juste. Mais il va de soi que l’on pourrait à la rigueur quelques instants découvrir la pensée juste, l’émotion juste, mais que très vite, repris par le flot de la vie, de nouveau les hommes se perdent dans des remous.

Donc, comment faire pour que cet axe soit de plus en plus présent et qu’il devienne même votre nature de manière que vous n’ayez plus à vous y contraindre ?

Il faut travailler à tous les conseils qui vous ont été donnés, que ce soit dans la bible, dans les œuvres de Krishna, de Bouddha, ou d’autres grands illuminés. Tous les conseils vous ont été donnés dans ces textes anciens. Partout on vous a dit comment vivre en société, car là, est le gros problème.

Un homme n’aurait pas de problème s’il vivait tout seul sur une île déserte. Il n’aurait que le problème de l’ennui, mais il ne connaîtrait pas l’envie de dominer ou l’ennui d’être dominé. Il n’aurait pas de relation de pouvoir. Donc le plus gros obstacle, la plus grosse énigme aussi pour le disciple, ce n’est simplement l’énigme de Dieu, mais l’énigme : qu’est l’autre. Et comme on remplace souvent un mystère par un autre mystère pour se cacher du mystère le plus important, l’homme cache le mystère de l’autre en ne pensant qu’à Dieu et en cherchant Dieu.

C’est faux. L’homme ne trouvera pas Dieu tant qu’il n’aura pas résolu le mystère et l’énigme : Qu’est l’autre ?
Comment vais-je me comporter vis-à-vis de l’autre ?
Qu’est-ce qu’il attend de moi ?
Que suis-je pour lui ?
Comment vais-je réagir, que vais-je lui donner ?

Et une fois que l’on a répondu à toutes ces questions, que l’on a trouvé chaque fois le bon comportement, et le bon comportement ne veut pas dire que l’on va faire plaisir chaque fois, mais une fois que l’on aura trouvé le comportement juste, chaque fois on aura trouvé Dieu.

Pourquoi ?
Pourquoi est-ce que je dis cela ?

Tout simplement parce qu’il n’y a pas d’autres manières de le dire. Si je sais comment être un homme en vie, c’est que j’ai su me réveiller, et si j’ai su me réveiller, c’est que je connais Dieu.
Celui qui me stimule à cet éveil comme aux multiples erreurs aussi, c’est l’autre, c’est celui qui va me voler, celui qui va m’insulter, c’est celui qui va venir à un rendez-vous trop tard ou trop tôt. C’est celui que j’épouse et qui ne va pas, c’est celui dont je veux me débarrasser et qui ne veut pas. C’est lui Dieu à ce moment-là et non pas le Dieu que je dois respecter, que je dois aimer. Non.

C’est lui l’énigme divine qui me propose le test.
Qu’est-ce que je vais être, qu’est-ce que je vais faire ?
Comment vais-je le faire et quelle est ma motivation pour le faire ?
Et dans ma façon de le faire, quelle mesure il y aura entre le mental et les émotions ?
Quel mental, quelles émotions ?

L’autre est Dieu sans le savoir, il propose l’énigme de Dieu sans être au courant. Il ne fait qu’être un être humain comme un autre avec tous ses problèmes. Mais toi qui as l’œil pour le voir, comprends qu’à ce moment-là, il est l’énigme divine en réflexion vis-à-vis de toi-même pour te forcer à aller plus loin à l’intérieur de toi-même.

Au moment où tu saisis quel est le juste comportement, ton problème n’existe plus, il se rétablit comme par miracle, ce fameux miracle qu’attendent tous les disciples. Mais ce miracle que tu attends et que tu veux voir venir comme protection sur ceci ou cela, ne peut avoir lieu que si tu déclenches l’état d’esprit juste. Déclenche l’état d’esprit juste et l’énergie que tu pries pour l’instant pour qu’elle rétablisse tout, pour qu’elle aplanisse tout, cette énergie trouvera l’aboutissement, pourra venir en toi, sortir de toi et régler le problème.

Tu es la porte d’entrée et de sortie des énergies et cette porte c’est la conception, le mental. Si tu n’as pas la conception juste, la porte reste fermée, l’énergie ne peut pas venir. Même si tu pries pendant des heures, l’énergie ne viendra pas et le problème subsistera.

Développe l’idée juste, la porte s’ouvre, l’énergie vient et elle rétablit. Car l’homme n’est pas celui qui doit faire l’action. l’homme est celui qui doit concevoir l’action et l’énergie dont il est le récipient et qui passe à travers lui fait l’action. C’est cela le détachement vois-tu.

Beaucoup d’homme se demande ce qu’est le détachement, surtout lorsqu’ils deviennent des serviteurs de Dieu. Ils se disent : je veux servir et en même temps je ne dois pas m’attacher à mon service.
Comment je dois faire, qu’est-ce que cela veut dire ?

Cela veut dire ce que je viens de t’expliquer. Ce que tu dois vouloir, c’est le comportement juste, l’idée juste. Le non-attachement doit être vis-à-vis de cette énergie qui passe. Tu ne dois pas penser : c’est mon énergie, c’est ma trouvaille, c’est mon talent et l’action alors s’effectue de manière dépersonnalisée et de ce fait complètement divine.

Donc, si j’ai un dernier conseil à te donner, pour que tu sois venu ici vraiment pour quelque chose, je te dirais oublie Dieu et pense un peu plus à toi-même. Mais non pas à ce petit confort dont tu t’entoures dans ta maison, pense à toi-même en tant qu’objet de ta recherche, objet de tes efforts, objet de ta purification. Tu ne pries pas pour Dieu ou tu ne pries pas un Dieu. Cesse d’extravertir tes conceptions et tes énergies. Quand tu pries tu tentes de faire, UN, avec Dieu pour que toi-même tu t’améliores.

Beaucoup de gens prient comme s’il s’agissait de tirer une sonnette à une porte. Et comme Dieu ne répond pas, alors ils se mettent en groupe et comme la prière ne fait toujours rien, ils font des groupes encore plus grands en pensant que là Dieu entendra. Les hommes font des groupes en pensant pouvoir influencer Dieu ou être suffisamment puissants pour attirer la puissance, le regard de Dieu.
Mais quel serait ce Dieu s’il se mettait à répondre à ses enfants que s’ils se mettaient par milliers à crier ce dont ils ont besoin.

Comme je le dis si souvent, si un tel Dieu existait, depuis longtemps je l’aurais cherché, traqué à travers l’univers pour le corriger. Un tel Dieu, je l’aurais levé de son trône, comme une plume, je l’aurais destitué et j’aurais mis à sa place le plus illuminé d’entre nous, le frère qui est sur la droite et qui parle peu. Pour le moment il ne parle pas quoiqu’en pensent les gens. Lorsque je dis cela tout le monde pense au Christ et c’est vrai. Pour l’instant il ne parle pas, cela ne veut pas dire qu’il ne travaille pas. C’est une indication que je donne pour ceux qui croient que Christ pourrait parler.

Donc si un tel Dieu existait, nous l’aurions, nous tous vos frères, destitué et nous aurions contre lui et malgré lui érigé un ordre bien meilleur. Seulement voilà, ce Dieu que tu imagines n’existe pas et celui qui existe est vraiment aimable, vraiment plein de divinité et digne de ta vénération. Seulement je t’en supplie, essaie de le concevoir avec exactitude et si je te donne un travail pour l’instant, ce n’est que celui-là. Tu méditeras après, tu feras monter kundalini après, tu ouvriras tes chakras après. Tout viendra naturellement après. Conçois Dieu avec exactitude.

Et tu verras que pour le concevoir avec exactitude, le travail ne se reporte que sur toi-même et tu en viens à te demander qui tu es. Tu en viens à remettre en cause toutes sortes d’idées reçues, que ce soit sur la société, les finances, la rotation de la terre, ou la position de ton sexe dans ton corps. Tu réfléchis ensuite à tout en te posant seulement la question de Dieu. Et ensuite tu t’aperçois que l’autre est la plus grande énigme, que vivre en société est la plus grande énigme et que c’est là, la plus grande des épreuves.
C’est là que tu reconnais le disciple, c’est là que tu reconnais l’initié. Est-ce qu’il sait vivre en société. Est-ce qu’il sait laisser à chacun sa place. Ou est-ce un tyran du haut de sa grande initiation dirige tout, contrôle tout, veut tout comme ceci, comme cela et comme Dieu le veut prétend-il.

Est-ce au contraire quelqu’un qui sait amener chacun à son propre développement et qui lui laisse la liberté de ses actions, de ses pensées, même de ses erreurs, parce que dans ses erreurs il découvre une vérité.

Chaque fois que tu verras un tel être, tu peux le prendre comme exemple, parce qu’il est un exemple, tandis que les autres n’en sont pas, ils sont des tyrans, des fanatiques. Trop souvent l’homme a suivi les fanatiques, parce que les fanatiques ça le rassure. Les fanatiques semblent savoir où ils vont. Ils disent : Dieu c’est tout droit, allons-y ensemble.

Tous ceux qui ont trop peur de la vie se disent : celui-là semble savoir si fort et si puissamment, il a dit c’est tout droit alors je vais avec lui. Mais tout droit c’est nulle part, ce n’est que le culte dont j’ai parlé.

Alors n’aie pas peur. Même s’il te semble que Dieu est un chemin difficile à parcourir, n’aie pas peur. Non seulement tu as toute l’éternité, mais tu as toute la protection des Maîtres. À ce moment-là, oui, tu l’as, parce que tu te places dans une idée juste, un comportement juste, tu ne risques rien. N’aie ni peur de rater Dieu ou de passer à côté de Dieu et surtout ne tiens pas compte du temps qui passe, le temps qui passe et qui te fait être sur la terre alors que tu voudrais déjà être au moins en esprit auprès de Dieu.

Défais-toi de cette envie qui est la plus mauvaise, elle n’est pas bonne inspiratrice. Tous les disciples sont pressés d’arriver à la plénitude, pressés d’arriver à l’initiation, pressés à ceci, à cela.
Il y a un acte d’humilité que tu dois commettre, ce n’est pas de dire à tout le monde que tu es peu de chose. Tout ce qui est parole n’est que parole. On se moque de tes paroles et il y en a assez de tes prétentions. Prétention à être humble, à ne pas te croire ceci, ne pas te croire cela, ou n’être que ceci ou que cela. Alors que, lorsque l’on regarde dans ton cœur on y voit un monstre d’orgueil.

Je vais te dire quel est l’acte véritable d’humilité, c’est de savoir être toi-même, tolérer être toi-même, patienter encore quelque temps d’être toi-même, alors que tu sais que potentiellement tu es Dieu. C’est ça, l’acte d’humilité.

C’est par cet acte d’humilité fondamental que tu trouves ensuite toutes les autres humilités. À ce moment-là, lorsque tu vas dire je ne suis que cela, alors ce sera vrai, authentique. Cela sera conçu jusque dans le plus profond l’âme et ta parole sera une perle de vérité.

Alors que celui qui est pressé de se libérer, pressé de rencontrer le Maître, pressé d’ouvrir un chakra, pressé de rencontrer Dieu, pressé de ne plus être ce qu’il est et qui ensuite dit : je suis peu de chose, celui-là est prisonnier encore de la dualité. Il peut à un moment savoir qu’il n’est rien et à un autre moment prétendre extraordinairement être tout.

Le plus gros des problèmes pour les disciples débutants qui font confiance à tel ou tel meneur de groupe, c’est qu’ils le voient pendant les heures de travail avoir une certaine humilité et sur un parking ou à un feu rouge sortir son orgueil démesuré. Alors le débutant ne sait plus, il commence à douter même de Dieu.

Où est Dieu et la vérité ?

Si tu débutes je te dis une chose simple. Sur terre il y a beaucoup de gens qui parlent, beaucoup de gens qui font comme, beaucoup de gens qui ressemblent “à”.
Tolère-les, comme tu tolères existence de quelque chose qui ne t’apporte rien. N’identifie pas Dieu et les Maîtres à ces êtres intermédiaires, n’attends rien d’eux, mais avec le peu qu’ils te donnent, puisqu’ils te donnent quelque chose, sers-toi de ce matériel pour te trouver toi-même.

N’aie pas le réflexe de cet enfant qui pour respecter son père à besoin de l’admirer. Sois un adulte. Et si pour l’instant le seul guide que tu as est un être peu recommandable ou qui est bourré d’orgueil à côté de quelques connaissances dont il dispose, pour apprendre le b a ba de l’univers, tolère-le comme il est. Ne joue jamais son jeu et ne tombe pas dans le piège enfantin de l’admirer pour le suivre, l’admirer pour le croire. Un disciple est toujours deux pas derrière son Maître, non pas parce qu’il doute de son Maître, c’est au contraire par amour. Il accorde à son Maître de pouvoir de temps en temps être en peine, commettre une erreur. C’est un acte d’amour, ce n’est pas un acte de doute.

S’il est capable cet acte d’amour, le Maître et le disciple vont vivre une relation extraordinaire. Chaque erreur qui sera commise par le Maître va devenir une démonstration de la vérité, une expérience qui sera comme vécue par le disciple qui observe. Alors que si le disciple a besoin d’admirer son Maître, s’il ne laisse pas, par amour, cette marge d’erreur ou de comportement humain, alors le Maître et le disciple ne peuvent rien faire ensemble et l’erreur du Maître rejaillit sur le disciple et le disciple prend cette chose pour en faire une désertion, un refroidissement de sa Foi.

Ne sois pas dans le doute vis-à-vis du guide, non, sois plein d’amour. Sache lui donner quelques repères où il peut à sa manière commettre encore un acte d’humanité ou une erreur. Mais chaque fois, sache bien que l’acte de trop d’humanité qu’il commettra n’est pas le même que le tien et l’erreur qu’il commettra n’est pas la même que la tienne. Donc, tu ne peux pas juger ton émotion ou son erreur, car ce ne sont pas des choses engendrées au même niveau. Toi-même tu ne serais pas capable de son erreur. Ou du moins l’erreur que commet le guide à ce moment-là est pour toi la plus haute vérité, c’est pour cela que tu ne peux pas juger l’erreur de ton guide.

Par contre sois toujours observateur de façon que son expérience devienne par osmose la tienne et ainsi il te fait évoluer comme s’il te portait et cela devient très riche.

Alors, que vas-tu faire demain ?

Demain, tu vas peser chaque chose dans ta pensée, dans tes émotions, comme je viens de te l’expliquer. Tu vas travailler l’exactitude de la conception et quand tu seras prêt, je te dirais comment on médite. Mais pour l’instant apprends à penser.

Penser est un acte réservé à l’homme, méditer est un acte réservé aux disciples.

Sois un homme et pense juste, et au point d’intersection de cette pensée juste tu me trouveras, que ce soit moi ou un autre, et nous te dirons tous comment méditer.

Je vous salue